59 - N.A.M.E Festival 2009 du 18 au 27/09/2009 
01/11/2009 plon rapports de soirées
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A Lille, tous les ans, c'est le même programme. Le mois de septembre commence avec la braderie, et se termine avec le N.A.M.E Festival. Et comme d'habitude, je n'ai pas dérogé à la règle, et ai encore une fois participé à ce festival que je trouve excellent !
Cette année, le programme des festivités était très dense : des évènements organisés de jour comme de nuit, étalés sur une dizaine de jours (voir programme complet sur le site officiel). Pour ma part, j'ai eu l'occasion de faire les 3 soirées qui étaient organisées à Lille et à Dunkerque (merci aux concours Clubxtrem pour les places 
). Et comme j'avais l'appareil photo, voici un "photo-rapport de soirée", qui j'espère vous plaira...
Vendredi 18 septembre > Tri Postal @ Lille
Salle 1
22h00 - 00h00 : Matthus Raman (dj)
00h00 - 01h00 : Damian Lazarus (live)
01h00 - 02h00 : Buraka Som Sistema (live)
02h00 - 04h00 : Tiefschwarz (dj)
04h00 - 06h00 : Radio Slave (dj)
Salle 2
22h00 - 00h00 : Ufo (dj)
00h00 - 01h00 : Sei A (live)
01h00 - 03h00 : Andrew Weatherall (dj)
03h00 - 04h00 : Guillaume & The Coutu Dumonts (live)
04h00 - 06h00 : Tim Green (dj)
Première soirée au Tri Postal pour cette édition 2009. Du beau monde (Tiefschwarz, Radio Slave), des artistes "du coin" (UFO, Matthus Raman), et des extra-terrestres (Buraka Som Sistema).
23h27. UFO (myspace) chauffe les platines. Je viens d'arriver au Tri Postal, et suis encore en train de (re)découvrir les lieux (je commence à connaître, puisque ce n'est pas la première fois que le NAME passe par ici). UFO (dj local, cocorico !), dans la deuxième salle, est déjà lancé. Le son est minimal, l'ambiance est toute bleue, les gens sirotent tranquillement. C'est une ambiance de début de soirée tranquille...
23h31. Les couloirs sont encore vides. Mais je sais que les couloirs du Tri Postal se prêteront bientôt à de drôles de rencontres sous les spots...
23h33. Comment s'appelle ce VJ ? Toujours la même difficulté dans ce genre d'events : on reconnait facilement les djs, mais on connait beaucoup moins les vjs. Ici, c'est soit Seve, soit Giraffentoast, soit SDNA.
23h34. Matthus Raman finit de me réveiller avec une excellente séquence... Je l'ai déjà vu au NAME lors d'une édition précédente, mais cette fois-ci les sons qui passent dans les enceintes sont vraiment entraînants. C'est de la min-tech déjà bien soutenue, les gens bougent bien alors que la piste est loin d'être remplie. Décidement, les crews lillois sont dans la place, et ne déméritent pas...
00h27. Et ce VJ là, comment s'appelle t'il ? Toujours pas de nom à mettre sur ce profil... Par contre, une coupe de cheveux d'enfer ! 
00h31. Les couloirs se remplissent... Ca y est, on commence à croiser des gens rigolos et festifs. J'adore ces moments...
00h36. Sei A mixe, et c'est bon !!! Je ne connaissais pas encore le nouveau nom de "l'écurie" NAME Family (label créé en marge du festival). Mais franchement, je découvre une ambiance hypertonique, une vraie tech festive et sans violence, mais qui assure sans problème. La salle 2 est blindée !
00h37. People... Comme d'habitude au Tri Postal, dès qu'il y a du monde, l'atmosphère se réchauffe très vite. La vapeur envahit l'air, et les conditions se durcissent pour ceux qui se promènent avec un appareil photo... Mais c'est trop bon !
00h52. Les écrans s'agitent au Tri Postal. Autre caractéristique du festival, de grands écrans projettent des images parfois psychédéliques, parfois très conceptuelles, parfois de simples messages de paix. Le travail des VJs joue beaucoup sur l'ambiance globale des soirées.
01h14. Damian Lazarus est insaisissable dans la fumée et la vapeur. Cela colle parfaitement avec son live, mystique et étrange... Posté derrière son matos, et dérrière deux "chanteuses" (choristes), Lazarus est vêtu d'une cape. 
Le début du live me semble "surprenant", ressemblant à de la dance planante... La suite du live va récolter l'adhésion de toute la salle, l'ambiance est hyper chaude ! Malgré tout, j'ai du mal à rentrer dans ce trip un peu "mystique", je change d'endroit...
01h29. Andrew Weatherall : la vieille école a encore du punch... Je l'avais déjà vu au NAME il y a 2 ans, son set m'avait largement impressionné. Cette année, c'est bizarre... Il reste collé à son casque, à réécouter, encore et encore, comme si il avait du mal à caler ses disques. Il regarde peu le public, semble en difficulté. D'un point de vue sonore, ça ne s'entend pas du tout : sa sélection mélant techno et house rapide, plutôt rétro, est assemblée de manière très honorable. Mais le bonhomme me semble avoir pris un petit coup de vieux. C'est dommage de ne pas avoir eu plus d'échanges avec la foule, qui est là en train de bouger devant lui, et qui le suit pourtant à fond...
01h42. Buraka Som Sistema met le feu. African roots en force ! Dans la salle 1, c'est le délire complet. Le groupe Buraka Som Sistema a pris possession de la scène, et balance ses rythmes de grosses basses, ses samples (Nirvana, Snap...) à coups de marteaux pilons. Par moment, on dirait de la dance bien bourrine, par moment on revient aux origines de l'Afrique avec des sons tribaux, finalement je ne sais pas en face de quel genre musical je me trouve. La chanteuse du groupe monte sur les enceintes pour remuer son poumpoum-short devant des tas de mecs en furie. La salle est en ébullition, tout le monde hurle, l'ambiance est maintenant tropicale, et il fait une chaleur infernale !
01h43. Buraka Som Sistema
02h24. Y en a qui bossent... Ben oui, on oublie un peu trop souvent que derrière tous les gros events, il y a des tas de gens qui montent le matos, préparent tout, s'occupent du son, puis démontent tout, après avoir passé des nuits complètes aux commandes sans rien lâcher... Respect.
02h25. Tiefschwarz aux commandes. Ca claque ! C'est la première fois que j'ai l'occasion de les voir en live, et j'attendais ce moment avec impatience. Franchement pas décu. Les deux compères se relaient aux platines, enchaînent des tracks excellents, que des tubes en puissance. Après le passage de Buraka Som Sistema, je craignais que l'ambiance retombe, mais il n'en est rien, la salle reste survoltée...
02h32. Attention, il va te manger !!! Où comment les VJs nous offrent des tableaux burlesques...
02h45. DJs vs. VJs ! Fight ! Le Tri Postal est une salle finalement très humaine : les scènes sont à hauteur des gens, les djs ne sont pas barricadés à 20m du public, et tous les artistes se cotoient, discutent, boivent un coup ensemble entre deux prestations. VJ et DJ, même combat...
02h52. Mister ticket ! Encore un qui bosse pour que les festivaliers puissent profiter de leur soirée...
02h54. Insect invasion ! Encore une fois, l'ambiance tient parfois autant au contexte visuel qu'au son balancé par les djs...
02h55. Seul au monde ? La nuit est déjà avancée, et on commence à croiser des gens un peu hagards, qui ont trop de son dans la tete, trop de fatigue dans les jambes, plus assez de force pour suivre les potes sur la piste... J'aime beaucoup ces moments, où l'on ne veut pas partir parce que c'est trop bon, mais où on n'a plus le jus pour continuer à bouger...
03h15. Guillaume and the Coutu Dumonts est lancé, et tabasse frénétiquement ses bongos, en mixant en même temps une sélection de titres tech-house. C'est sympa, techniquement original, mais je n'adhère pas complètement. Difficile d'être au mix et aux bongos en même temps, donc difficile d'aller au bout des choses...
03h16. Qui a oublié sa table de mixage ?
Samedi 19 septembre > Tri Postal @ Lille
Salle 1
22h00 - 23h30 : Deepraker (dj)
23h30 - 00h30 : Thecocknbullkid (live)
00h30 - 02h30 : Michael Mayer (dj)
02h30 - 04h30 : Ellen Allien (dj)
04h30 - 06h00 : APM 001 (dj)
Salle 2
22h00 - 00h00 : Peo Watson (dj)
00h00 - 01h00 : Krazy Baldhead (live)
01h00 - 03h00 : Feadz (dj)
03h00 - 04h00 : Matias AguayO (live)
04h00 - 06h00 : Sebastien Mullaert aka MinilOGUE (dj)
Deuxième soirée en deux jours, va falloir tenir bon. 
A part Michael Mayer, Ellen Allien (qui m'a fortement déçu l'année dernière), et Minilogue (qui m'a fait forte impression en live aux Agoraphones), je ne connais pas vraiment les artistes inscrits au line up. Nuit de découverte ?
23h45. Jonas Bering est dans la salle 1. Il remplace Thecocknbullkid, à priori absent ce soir. Déjà vu au NAME lors d'une précédente édition, où son travail m'avait beaucoup plu. Rapidement, je retrouve les mêmes impressions que la première fois : ses rythmes technoïdes aux allures de trance m'emportent sans que je ne puisse y résister, je bouge inconsciemment. L'ambiance est déjà chaleureuse, la salle bien peuplée, bien entraînée. La soirée commence très bien.
23h46. Jonas Bering.
00h48. Michael Mayer a pris la suite dans la salle 1, pour un dj set. Cela commence bizarrement (c'est long et mou), et cela finit bizarrement aussi (avec une track naïve qui ferait très bien la BO d'un Charlie Chaplin ou d'un Laurel et Hardy). Entre les deux, la playlist passe par des moments un peu mous, et par des séquences d'hystérie, punchées par de gros tubes (notamment un gros remix de Rose Rouge de St Germain). Au final, une prestation aux deux couleurs, qui m'a quand même bien marqué !
00h52. Michael Mayer va se faire bouffer par un papillon... 
01h13. People au NAME... Il fait vraiment chaud dans la salle, la vapeur est omniprésente, il pleut du plafond...
01h19. Discussions sous les néons.
01h38. Toujours les mêmes qui bossent...
01h50. Feadz. J'ai laché le set de Michael Mayer le temps d'aller voir ce qui se passe en salle 2. Et là, ahurissement : Feadz est aux platines, et balance des tracks bien bourrins, entre techno, drum, et hip hop, dont un titre très marquant avec de gros samples des Black Eyed Peas. Le rythme est très énervé, energique, et ne laisse pas indifférent : soit on commence à sauter partout comme un fou, soit on rechange de salle. Perso je préfère retourner en salle 1, mais je ne suis pas mécontent que les organisateurs aient eu l'idée de varier à ce point leur guestlist.
02h03. People dans le déluge de son et de lumière...
02h53. Ellen Allien est dans la place ! Et cette année, la marraine du festival tient ses promesses ! Ca cartonne !!! L'atmosphère est devenue tellement chaude et humide que j'arrive pas à prendre la moindre photo exploitable ! Rhhaaaaa !!!! Par contre, d'un point de vue son, c'est la claque ! Je retrouve la Ellen Allien que j'avais vu il y a 2 ans.
03h45. Ellen Allien ralentit, puis stoppe son disque... Silence. :- ? On attend que cela reparte en trombe... Mais au lieu de cela, elle prend le micro, et annonce "la police est là, nous devons arrêter". Non... C'est une blague, ça va repartir... Les gens commencent à hurler, à taper sur le sol et sur les murs. C'est un bordel sans nom. Un membre du staff montera sur le podium pour nous expliquer que suite à des plaintes, des cars de CRSS attendent dehors, et ont donné ordre d'arrêter la soirée. Incompréhension. Les gens hurlent de plus belle, ça se rebelle de partout. Au bout de quelques minutes, et alors que la lumière a été rallumée, la piste commence à se clairsemer, il y en a qui se disent que c'est mort, et qui rentrent chez eux. Mais le gros des troupes reste là, à hurler son envie que le son revienne. Après 35 minutes d'interruption, le son revient enfin, sous les applaudissements et les hurlements de joie. Les espaces qui donnaient sur l'extérieur (le coin fumeur, et les toilettes extérieurs) sont fermés pour diminuer les nuisances. Merci aux organisateurs de n'avoir rien laché pendant les négociations avec les CRS. Dommage qu'il y ait toujours une bande d'abrutis pour foutre le bordel à l'extérieur. Les gens ne sont pas reconnaissants des efforts qui sont faits pour eux. 
04h28. En salle 2, Minilogue, ou plutôt Sebastien Mullaert, de Minilogue a pris place pour un dj set. La musique est sympa, mais on voit que la coupure prolongée a fait des dégats : moins de monde, moins d'enthousiasme. Je ne vais pas tarder à partir...
04h33. Il a plu à l'intérieur ???
04h41. La façade du Tri Postal...
Samedi 26 septembre > Kursaal @ Dunkerque
22h00 - 00h00 : Tom (dj)
00h00 - 01h00 : Super Flu (live)
01h00 - 03h00 : Audiofly (Luca) (dj)
03h00 - 04h00 : M.A.N.D.Y. (live)
04h00 - 06h00 : APM 001 (dj)
C'est une des habitudes du festival de se terminer par une soirée à Dunkerque, au Kursaal, face à la mer. Cette année ne dérogera pas à la règle, et j'ai fait le déplacement jusque Dunkerque en espérant faire quelques découvertes supplémentaires (du line up, je ne connais que MANDY). C'est parti pour le final...
22h51. Début de soirée sous les lumières, mais personne sur la piste. Un des problèmes des soirées à Dunkerque : elles ont souvent du mal à démarrer, et à attirer du monde. Résultat, peu avant 23h, on est à peine une trentaine dans la salle. Personne sur la piste, tout le monde au bar. Mais le staff n'a pas délaissé l'organisation : la technique (son, lumières, écrans) est nickel, comme d'habitude.
23h40. Piste d'aterrissage, ou piste de danse ? Toujours pas de foule massive... Ca va venir...
23h52. Tom (site des soirées Landscape) aux platines. Qu'il y ait du monde ou pas, cela n'enlève rien à la qualité de son set, irréprochable. Sa sélection minimale, très bien agencée, aux rythmes hypnotiques et envoutants, me capte réellement... Les organisateurs ont encore une fois bien misé en jouant la carte des crews locaux.
00h49. Ambiance rose, pour les filles...
00h50. ...ou bleue, pour les garçons !
00h54. Super Flu, ou plutôt la moitié de Super Flu aux commandes. Pendant un peu plus d'une heure, il enchaîne des titres tech/house, en y injectant régulièrement des effets, des sons, balancés via son synthé. Faire deux choses en même temps n'est à mon avis pas simple, et finalement, entre des morceaux longs et répétitifs (pour avoir le temps de s'installer dessus), et des effets finalement peu originaux et très répétés, la prestation m'a plutôt déçu. De manière générale, ce type de live act me semble très difficile à bien faire... Du moins seul...
01h05. Ambiance... Le vj et le lightjokey sont en phase...
00h50. Cernés ?
01h15. Stroboscopes... Etrangement, on dirait que la poussière n'a pas été faite. 
01h43. Audio Fly (Luca) en dj set. En fait, plus la soirée avance, moins le son me parle. Le set d'Audiofly est dans la continuité de ce qu'a passé Super Flu, avec une tendance de plus en plus house, voire italo. Je regrette franchement l'ambiance minimaliste du début de soirée. Les goûts et les couleurs. Bref, ce n'est pas l'extase, mais il y a du monde sur la piste, au moins ça plaît à d'autres...
02h25. The end. J'en ai marre, je suis crevé, je crois que je vais rentrer.
En résumé...
Généralement, le NAME est relativement éclectique, généreux, et fidèle aux messages qu'il promeut. Encore une fois cette année, et malgré les subventions et financements qui ont fondu comme neige au soleil (c'est la crise), tous les ingrédients (guestlists, technique, staff, richesse du programme) étaient là pour que cette édition soit de qualité.
Et comme chaque année, j'ai passé de très bons moments, j'ai fait des découvertes, et j'ai vibré (j'ai lu sur d'autres forums beaucoup de critiques sur cette édition, je ne les partage pas, je n'ai sans doute pas les memes exigences). Mes meilleurs souvenirs :
- un staff hyper compétent, dispo, et super serviable. Merci les gens !
- quelques moments mémorables, comme le set d'Ellen Allien (qui décolle, qui s'arrête à cause des flics, et qui repart de plus belle dans l'hystérie), les live de Jonas Bering et Buraka Som Sistema, les sets de Tom, Matthus Raman, Tiefschwarz et Michael Mayer...
- l'ambiance de jungle tropicale : tellement chaude et humide qu'il a plu a l'intérieur du Tri Postal. On en dit ce qu'on veut, moi je trouve ça génial !!!
- un programme de fou. Au delà des 3 soirées, il y avait plein de trucs à faire sur Lille pendant 10 jours. J'ai seulement eu l'occasion de visiter le musée "La piscine" à Roubaix, où certaines oeuvres étaient "commentées" par des musiques composées spécialement pour l'occasion (expérience très étrange)... 
Mais évidemment, comme chaque année, il y a eu quelques points noirs. Principalement :
- un problème de comportement sur la piste : de plus en plus de m'as-tu vu, là pour montrer leur paire de lunettes de soleil ou leur nouveau tshirt Diesel, et qui ne savent rien faire d'autre que traverser la piste en long, en large, et en travers avec leur bière... 
- une décoration pauvrette par rapport aux éditions précédentes. Trop cher, pas assez de sous. Mais bon, il vaut mieux grignotter sur la décoration que sur les guests...
- quelques inégalités dans la programmation. L'édition de Dunkerque me semblait en deçà. C'est dommage, je me souviens de soirées avec James Holden ou le team BPitch, c'était quand même du lourd par rapport à cette année. Là encore, les restrictions budgétaires doivent y être pour quelque chose.
- une queue infernale pour aller aux toilettes ou fumer une cigarette. Fallait pas être trop pressé.
Le mot de la fin : vive le NAME ! Et merci Clubxtrem, qui m'a permis de sortir presque gratos grâce aux concours.
de quel droit la police vient interrompre une soirée légale ? si les orgas ont toutes les autorisations , je vois pas en quoi la police peut venir fermer une teuf en cours , c'est stupide , à part si elle veut créer une émeute...
soit on interdit la soirée, soit on la laisse suivre son cours , mais on arrête pas une teuf pour tapage ...
maintenant ya le problème des gens qui sortent pour fumer , et ça c'est partout depuis l'interdiction de la cigarette dans tout les lieux pulbiques...
Très originale cette façon de nous raconter tes soirées. J'adhère complètement !
J'aurais vraiment aimé participer cette année au NAME, voir SEI A, revoir Andrew Weatherall ect...
Vraiment abusé cette incursion de la Police !!
Bravo à toi Plon et Bravo à toute l'équipe du NAME, c'est grâce à des gens comme vous que la musique électronique fait bonne figure, sans tomber dans la soupe !!
En plus, il y a un réel effort sur les VJ et moi j'aime ça !
Pour ce qui est de l'incursion de la police, le problème est que le Tri Postal est une salle en centre ville, donc dès qu'il y a un peu trop de bruit, ça reveille pas mal de gens, et on sait vite d'où ça vient. Alors deux nuits d'affilée, ça peut sans doute vraiment énerver les riverains.
Ce qui n'aide pas non plus, c'est l'obligation de faire des espaces "externes" (pour les fumeurs, pour les toilettes). Les accès avaient été isolés (façon panneaux en plastique comme dans les boucheries), mais ça n'a pas suffi. En arrivant chez moi (j'habite à à peu près 3 km) après la première soirée, j'entendais encore la musique au loin...
De plus, si il n'y avait pas une bande d'abrutis -alcolisés ou non- toujours prêts à gueuler ou foutre le bordel dans la rue, on aurait aussi moins de problèmes...
M'enfin, ce qui est cool, c'est que ça a repris de plus belle (je pense qu'il y a des coups de fil haut-placés qui ont du être donnés pendant les négos avec les crs...). Ca aurait été du gachis que la soirée s'arrête comme ça...
En effet, j'aime également ta façon de retranscrire tes émotions : Mister ticket
.Wouaou Minilogue, je rêve de le voir, j'adore ses prod, son graphisme décalé, Tieschwarz, j'avais pas aimé à Lyon.
Enfin, ça reste de l'hallu cette intervention de la police mais respect à l'organisation pour le maintient de la soirée et aussi au VJ qui ont envoyé de belles choses.
